Alors du coup,
Comme moi on n’arrêtait pas de me demander pourquoi je venais plus aux soirées,
J’y suis allé
Aux soirées un peu, et bah j’ai pas été déçu !
Alors du coup,
Comme moi on n’arrêtait pas de me demander pourquoi je venais plus aux soirées,
J’y suis allé
Aux soirées un peu, et bah j’ai pas été déçu !
L’été enfant, le monde s’arrête.
Juillet était le mois des vacances en famille. Mon frère, ma sœur, moi, les parents, le chat, tout ce p’tit monde navigait à bord de la déjà vieille Renault 21 vers la maison familiale en Dordogne, un petit manoir acheté vers le milieu du dix-neuvième siècle par les aïeux.
Cette maison et son ambiance favorisait l’imagination et les jeux : parties de cache-cache géantes, construction de cabanes dans le jardin immense, tentative de potager et mille autres activités.
Mais là mais c’est souperbe vraiment ce rendou de la loumière, cette extravagance des tonalités jaunes qui jouent ensemble dans ce ciel noctourne,
« Je suis né dans une famille qui ne se distingue en rien des millions d’autres familles de travailleurs de ma patrie socialiste. Mes parents sont des Russes tout simples auxquels la Grande Révolution socialiste d’Octobre a offert, comme au peuple tout entier, la satisfaction d’une vie bien remplie. » Le chemin du cosmos, Youri Gagarine, 1961
Youri Gagarine, c’est le héros national d’URSS. Il incarne à la perfection l’idéal soviétique: individu d’origine sociale humble qui œuvre à la grandeur de la patrie.
C’est avec un peu de retard que je partage avec vous cette video d’une virée street artistique nocturne. Avec Marie Aschehoug-Clauteaux et Philouwer, nous nous sommes dirigés vers la Butte aux Cailles, une nuit d’octobre 2017, pour y réaliser deux dessins au pastel.
Il y a un an, j’ai créé le projet « la voix de l’art urbain » qui propose d’égayer les balades parisiennes en donnant vie aux œuvres de street art que l’on peut y voir. De quelle manière ? En imaginant pour chaque œuvre l’histoire qu’elle pourrait raconter, fictive ou basée sur des connaissances, en prose ou en vers, drôle ou tragique… bref : du storytelling de rue.
Au détour d’une rue vers le Boulevard de la Villette, je suis tombé sur ce sticker de 1984. Pour l’illustrer, plutôt que de piocher toujours dans les mêmes citations de cette œuvre aussi géniale et cultissime que terrifiante, j’ai trouvé plus intéressant de reproduire un extrait de la lettre qu’Aldous Huxley a adressé à George Orwell pour le remercier de l’envoi de son livre.
La lumière du jour, grise, éclairait d’un flou étrange la rue dans laquelle j’avançais. Au début, la rue ne semblait pas vouloir admettre de fin, mais plutôt jouer avec ce sentiment d’inconfort des longues voies qui désorientent.
Enfin le bout de la rue apparut. Un mur se dressait là, et il paraissait impossible de le franchir. Ah ! Satanée sans issue ! Il faudrait remonter tout le chemin, qui bien que ligne droite, avait l’air incertain.
Les faisceaux de lumière balayaient le vide sous-marin. Devant les puissants phares, les ruines de l’ancienne Capitale se dessinaient, taillaient l’horizon jaunâtre de l’éclairage, superbes découpes, vestiges de vieux quartiers.