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Le robot & la partie de cache-cache – Street art rue Grénéta, Paris

Chut !! Chut !!
Ne révélez pas mon emplacement. hi/hi/scrnch/scrnch

Ne faites aucun bruit… Vous allez finir par signaler notre position. hi/scrnch/hi

Le Promeneur & l’Arbre (Parties I & II) – Street art à la Butte aux Cailles, Paris

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Vaste la plaine
Vide la plaine
Aucune vie
Rien ne surgit

Qu’un promeneur
Qui à ses heures
Perdues espère
Dans le désert

La jeune fille & les papillons – Street art par Jef Aérosol à la Butte aux Cailles, Paris

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Au-dessus d’elle, le vol silencieux des papillons. C’est sympa les papillons. C’est beau, ça dérange pas.

KO. Complètement KO. Recroquevillée, là, elle se sent bien. La journée passe doucement, sans souci, et elle, pareil.

Des bulles & des Big Bang – Street art par Alice Pasquini, Vitry-sur-Seine

Des heures. Cela pouvait durer des heures entières. Flanqué du sceau d’eau savonneuse que lui avait préparé sa mère le matin, il restait planté là toute la journée à répéter inlassablement les deux gestes sur lesquels il laissait ensuite glisser son émerveillement.

Colloque sur l’amour passionnel – Street art par Petite Poissone, Paris

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C’est lors du premier colloque portant sur l’étude des mécaniques systémiques structurello-conjoncturelles de l’amour passionnel et les dynamiques intrinsèques de leurs fluides corporels sporadiques attenants que des chercheurs ont annoncé avoir confirmé expérimentalement le fait que la spontanéité serait une composante centrale et cependant non exclusive de l’élan amoureux de sujets en phase de pré-péchotage, relançant par là-même l’épineux débat contre les thèses rationalistes du calcul déshabillatoire jusqu’alors mises en avant par l’école dite de la fièvre du samedi soir.

Arrivée là-haut – Street art par Catherine Cisinski, Paris

« Bah là c’était mon premier jour ici j’crois bien.

Les gars v’naient juste de me refiler mes ailes.
Les ailes, c’est génial les ailes ! Trop stylé ! Un peu de mal au début pour trouver une bonne position pour dormir. Par contre, tu voles, c’est top. Tu voles dans le ciel du ciel : c’est pas ouf comme concept ça !?

Atelier streetart pour le Village des Initiatives d’ATD Quart Monde

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Les 14 et 15 octobre, c’était festivités au Village des Initiatives d’ATD Quart Monde: l’association de lutte contre la grande pauvreté célèbrait Place de la République ses 60 ans.

Geneviève de Gaulle Anthonioz – Street art par Ernesto Novo, Paris

« Cherchez au fond de vous-mêmes ce que vous croyez être le meilleur, et trouvez une raison pour que votre vie soit digne d’être vécue. Si vous le faites, votre vie aura un sens. Sinon, vous vous amuserez, vous aurez des distractions, comme dit Pascal, mais vous n’aurez pas l’honneur de vivre. »

ATD Quart Monde & le Village des Initiatives : venez nombreux !

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« Le plus pauvre nous le dit souvent : ce n’est pas d’avoir faim ou de ne pas savoir lire, ce n’est même pas d’être sans travail qui est le pire malheur de l’homme. Le pire des malheurs, c’est de se savoir compté pour nul au point ou même vos souffrances sont ignorées. Le pire est le mépris de vos concitoyens, car c’est le mépris qui tient à l’écart de tout droit, qui fait que le monde dédaigne ce que vous vivez. Il vous empêche d’être reconnu digne et capable de responsabilité. Le plus grand malheur de la pauvreté extrême est d’être comme un mort vivant, tout au long de son existence. »

Joseph Wresinski, Refuser la misère, Le Cerf, Paris, 2007

ATD Quart Monde & le Village des Initiatives – Street art par c215, Paris

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« Le plus pauvre nous le dit souvent : ce n’est pas d’avoir faim ou de ne pas savoir lire, ce n’est même pas d’être sans travail qui est le pire malheur de l’homme. Le pire des malheurs, c’est de se savoir compté pour nul au point ou même vos souffrances sont ignorées. Le pire est le mépris de vos concitoyens, car c’est le mépris qui tient à l’écart de tout droit, qui fait que le monde dédaigne ce que vous vivez. Il vous empêche d’être reconnu digne et capable de responsabilité. Le plus grand malheur de la pauvreté extrême est d’être comme un mort vivant, tout au long de son existence. »

Joseph Wresinski, Refuser la misère, Le Cerf, Paris, 2007