Artemis releva le défi d’Ulysse et choisit de tirer sa flèche au travers des cycles lunaires.
À chaque cycle traversé, la flèche gagnait en célérité de sorte que sa course se chargea d’un halo de lumière céleste.
La Flèche traçant ainsi sa route cosmique devint comète et Artémis, suivant des yeux son parcours, constata l’infini de l’univers.
Street art par Mademoiselle Maurice // Les oeuvres de Mademoiselle Maurice comptent parmi les plus ambitieuses et poétiques qu’il m’a été donné de voir jusqu’à présent. Malheureusement les 3 oeuvres qui illustrent ce court article n’existent plus. La première, « les cycles lunaires », ornait 140m d’une façade de bâtiment vers Porte d’Italie, et absolument était monumentale. La deuxième, qui poursuit le style lunaire, décorait un mur extérieur de la Réserve Malakoff. La troisième enfin, intitulée « la galaxie lointaine », occupait tout un couloir du LAB 14.